Disciplines

Un retour aux sources à Cuba pour une salsa plus authentique, imprégnée de la gestuelle afro d’origine. Il s’agit par la même occasion de favoriser le sens de l’improvisation chez les élèves, développer son style. Cours proposé sous forme de stage.

Au début des années 60, la bachata faisait partie de la catégorie romantique, la musique que l’on écoute. Certains latinos disent même la musique « para beber » (pour boire en écoutant les paroles) par opposition à la musique « para bailar » (pour danser et faire la fête).

Le grand musicien, Juan Luis Guerra est l’un des plus grands ambassadeurs de la bachata. En mettant sur le marché l’album « Rosa » en 1991, il atteint des records de vente dans le pays et commence à faire connaître internationalement la bachata. Il remporte en effet un Grammy pour cet album.

Apporter aux élèves des outils techniques et les bases de la danse. Les aider à travailler leur corps à travers des exercices et apprendre à se placer tout en élargissant leur capacité à aller plus loin dans un mouvement, grâce à un travail d’assouplissement et d’élasticité de l’enveloppe musculaire (par exemple, travailler le placement et les muscles qui aident à bien exécuter un plié, une fente, un renversé, un tour).

Issu du Danzòn, rythmiquement, le chachacha est très proche du Mambo.
C’est un genre musical inventé en 1951 par le violoniste cubain Enrique Jorrin, de la charanga Orquesta America, dans la première partie du morceau Engañadora (l’autre partie est un rythme de mambo). Le mot « chachacha» , qui désigne également une danse, provient du son produit par le frottement des pieds des danseurs sur le sol suivant le rythme.

La Kizomba est un rythme de danse Africaine d’origine angolaise, qui s’est popularisée dans d’autres pays comme le Portugal, le Brésil,le Cap vert, le Mozambique, la Guinée… et maintenant en France.

La danse Kizomba appelée à juste titre « tango d’Afrique », sensuelle, élégante et technique, elle sait instaurer une symbiose entre les danseurs et la musique.

Kizomba: Musique d’Angola qui a rencontré un large public en Afrique.

Une danse qui fait partie de la culture Portugaise, qui déferle en Europe notamment en France.

A la base la Kizomba est un mélange entre le semba, et le Tango congolais. Son « voyage à travers les différents continents l’on fait évoluée en y associant des pas d’influence latine tel que la salsa, le tango…

Le Modern Jazz est issu de la danse jazz américaine des années 30 et 40 que l’on associe souvent au swing et au lindy hop (on appelle d’ailleurs aujourd’hui cela « jazz roots » ou encore « authentic jazz » pour bien marquer la différence).

À la fin des années 40, la danse jazz intègre les comédies musicales de Broadway pour y évoluer dans les années 50 sous l’impulsion de chorégraphes comme Katherine Dunham (« La Grande Katherine ») ou Bob Fosse. Le modern jazz est donc une danse technique, rythmée et dynamique qui essaye de rapprocher les techniques issues de la danse classique à la danse aux racines afro-américaines, avec un soupçon d’influences diverses (acrobaties, danse contemporaine, etc.).

Le modern jazz est caractérisé par la coordination des mouvements, le contrôle de la gravité et les isolations des parties du corps dans le respect d’une technique de base établie.

Le modern jazz est beaucoup utilisé dans les clips vidéo de chanteurs populaires où il est aussi de plus en plus souvent mêlé à des mouvements de hip-hop

Donner des repères de compte ou d’instruments à l’élève / danseur pour qu’il puisse se situer dans les temps de la musique et garder un rythme régulier.

Ce travail présente un double intérêt : primo, il permet, dans le cadre d’une danse à deux, de ne pas se retrouver en désharmonie à cause d’un flottement au niveau du tempo; secundo, il facilite, dans le cadre d’un travail chorégraphique, la synchronisation.

Il s’agit aussi par ce biais de sensibiliser les participants à l’interaction entre musique et danse afin d’éveiller et de développer leur capacité à improviser ainsi que leur sens de l’interprétation en tant que danseurs.

Le Reggaeton est une danse et un genre musical urbain, né à partir du milieu des années 1990. Il existe un débat passionné en Amérique latine qui porte sur l’origine de cette musique. Certains pensent qu’il vient du Panamá alors que d’autres soutiennent qu’il est de Porto Rico. Il semble plus juste de dire que l’histoire du Reggaetón a commencé au Panamá avec le Reggae chanté en espagnol. Par la suite, cette musique s’est développée, a continué d’évoluer mais ne prit l’ampleur qu’on lui connait qu’à Porto Rico où elle est devenue le Reggaetón.

Sexy ! Sensuel ! C’est le Reggaeton ! Cette danse d’origine latine plonge ses racines dans la salsa, le Hip Hop et le reggae. Elle stimulera votre assurance avec ses mouvements sensuels et créatifs.

La Salsa Cali Style nous vient de Colombie. Tout commence à Cali. La ville de Cali est reconnue mondialement comme étant la capitale de la salsa. Ses richesses culturelles et musicales lui ont donné le surnom  de Cali pachanguera : « la fêtarde ».

À la fin des années 1960 lors des Aguelulos lors de fêtes organisées dans un cadre familial, les caleños avaient pour habitude de se retrouver et danser sur des rythmes endiablés. C’est dans cette ambiance que naît la Salsa Cali Style.

C’est un style est dynamique qui allie à la perfection musicalité et jeux de jambes. L’harmonie entre les temps morts et les contretemps de la musique donne à la Salsa Cali Style son indéniable sabor (Saveur).

C’est une danse entraînante et captivante qui risque d’en séduire plus d’un(e).

Cette discipline est plus communément appelée Salsa Colombienne.

Style de Salsa dansé à la Havane dont le nom propre est le « Casino ». Elle se danse généralement sur la musique « Timba » et se pratique couramment en « Rueda ». La suelta consiste à faire des chorégraphies en solo. Dans les cours vous trouverez selon les niveaux de la suelta, du couple ou de la rueda.

Le Mambo, mélange de sons afro-cubains et d’influences du jazz New-Yorkais, explose à New-York entre les années 1940 et 1960. On retiendra de cette période, le fameux club latino de Manhattan (quartier de New-York), le « Palladium » qui donnera son nom à un style de la danse mambo.

Le danseur guide à sa partenaire des chorégraphies appelées « Passes », qui peuvent être séparées de moments de solos appelés « Shines » (ou jeux de jambes).
Dans la Salsa de style dit « Portoricaine », on distingue encore des variantes telles que:

• Le Palladium style « On 2 » (précurseur car issu directement du Son cubain)
• Le Eddie Torres style « On 2 »
• Et le L.A style « On 1 »

A Salsabor, nous enseignons la salsa porto sur le 2 Palladium dès le niveau débutant pour des raisons historiques, d’écoute musicale mais surtout d’efficacité pédagogique, ainsi que le On2 « Eddie Torres Timing », dans les niveaux intermédiaires/avancés.

Le styling consiste en un travail des attitudes pour développer son propre style, chorégraphies d’expression masculine ou féminine.

Ces cours utilisent les principes fonctionnels et physiologiques : la marche, la respiration abdominale, l’abdomen (centre des énergies pour les mouvements).

Les élèves/danseurs sont amenés par ce cours à une meilleure conscience de leur corps et de leur gestuelle. Il s’agit d’éviter une approche superficielle du mouvement donnant lieu à des gestes désarticulés, surfaits et reposant sur la seule puissance musculaire pour, au contraire, obtenir des mouvements harmonieux, puissants et souples, issus de l’intérieur (endocinèse).

Travail autour de différents exercices qui permettent d’exécuter un tour techniquement correct, en ayant conscience des points techniques nécessaires à l’exécution d’un tour (ex : spot, appuis, torsion…) en solo ou couple.

Uniquement proposé en stage avec des professeurs partenaires.