Publié le
GHISONACCIA NOUS VOILÀ !
Le mois dernier, nous nous sommes quittés alors que j’arrivais à l’aéroport, prête à embarquer pour la Corse et cette semaine de danse, d’aventure et de plaisir qu’est le SBL. Tu es prêt pour la suite ? Toute l’équipe de Salsabor te souhaite la bienvenue à bord, la température extérieure est de 27 degrés, attache ta ceinture, on est paré au décollage.
En mai 2022, je me trouvais donc à l’aéroport d’Orly, ma valise grande ouverte dans le Terminal 3 parce que personne ne m’avait dit qu’il était inutile de prendre douze mille t-shirts, douze mille pulls pour aller avec les douze mille t-shirts et les fameux crayons de couleurs, et que j’avais donc largement dépassé les 23kg de bagage réglementaires. Heureusement, toi tu es prévenu. Ne fais pas ça. Sauf si comme moi tu as la chance d’avoir des amies pour prendre une partie de tes affaires dans leur valise et de tomber sur un agent de sécurité très compréhensif et peu regardant.
Une fois cet épisode passé, il n’était absolument pas question de rester sagement assises à attendre l’heure du départ. Oh non. Un challenge avait été lancé par Salsabor à tous les participants du SBL : le merengue challenge. Cela supposait de nous filmer en train d’embarquer dans l’avion en dansant le merengue sur le morceau « Traigo Fuego ». Et il fallait évidemment avoir la meilleure mise en scène possible. Nous avions un avantage exceptionnel avec ce groupe du vol de mercredi matin : nous avions Montse avec nous. L’intro était toute trouvée : « Est-ce que tout le monde a badgé ? ». Le résultat était magnifique. Notre vidéo était drôle et festive et joyeuse. Mais je dois reconnaître qu’un groupe a fait mieux. Mille fois mieux. La veille, ils avaient dansé le merengue DANS l’avion. En plein vol. Dans les airs. Le SBL avait clairement commencé.
Je ne sais pas quel sera le nouveau défi à relever cette année mais je fais confiance à la team Salsabor pour nous concocter quelque chose de fou. Et j’ai hâte de voir tes exploits en vidéo !
Lorsque nous sommes arrivés à Bastia, un bus nous attendait pour faire la navette jusqu’au camping à Ghisonaccia. Est-ce que nous avons fait une rueda devant l’aéroport en attendant le départ du bus ? Oui absolument. Et est-ce que nous avons ensuite dansé la salsa à l’intérieur du bus tandis que the one and only Philippe Gomis faisait retentir sa playlist sur une enceinte à plein volume ? Evidemment.
Notre excitation montait à mesure que les paysages corses se succédaient par la fenêtre. Il faisait beau, l’ambiance était légère et nous ne pouvions nous empêcher de sourire d’être là, ensemble, aux portes de cette semaine qui commençait sur les chapeaux de roues.
En arrivant au camping Arinella Bianca, nous avons été accueillis par un verre du divin planteur de José. Une arrivée en douceur sur les lieux de nos vacances où la musique résonnait déjà partout. Une bonne partie de l’équipe d’enseignants et de forpro nous attendait pour nous donner les précieux sésames du SBL : les bracelets colorés qui allaient orner nos poignets de jour comme de nuit et nous permettre d’accéder à tous les espaces du camping. Toi aussi cette année tu bronzeras avec ta collec’ de bracelets. Ça fait partie du rite de passage.
Une fois les bracelets en place, el señor Galvani check la liste des inscrits, nous donne les clefs et le numéro de nos bungalows, un plan et une petite blague au passage et hop, le moment est venu de découvrir vraiment à quoi ressemble les lieux.
Mais avant de mettre ma casquette de guide touristique et de te faire une petite visite virtuelle, laisse-moi revenir une seconde sur cette histoire de plan. Oui, il y a une petite vibe épreuve d’orientation de Koh-Lanta dans le fait d’avoir un plan papier avec la localisation de chaque bungalow et chaque espace commun du camping. Et on rigole on rigole mais ce plan nous a été bien utile en arrivant. Imagine un peu : plus d’une centaine de bungalows quasi identiques cachés parmi les arbres comme des oeufs de pâques XXL. Trouver le sien du premier coup sans plan dans un endroit aussi vaste relève du miracle. Nous n’avons heureusement pas eu besoin de boussole ni de compas (et de toutes façons je n’avais plus de place dans ma valise pour prendre mon kit d’exploratrice).
Si tu n’as pas encore été faire un tour le site du SBL ou celui du camping, laisse-moi dès à présent te rassurer : les bungalows sont top. Genre, vraiment. Et je ne dis pas ça parce que j’étais sous le charme inconditionnel de ces vacances. Il y a des choses avec lesquelles je suis très sérieuse et la véracité de la description du SBL en fait partie.
L’année dernière, j’étais dans un bungalow de quatre et voici comme il se présentait : une large terrasse avec une grande table pour déjeuner dehors et des chaises longues pour glandouiller (autant te dire que je n’ai pas utilisé ces chaises longues), de grandes baies vitrées pour faire entrer la lumière, une pièce à vivre composée d’un salon petit mais confortable ouvert sur une cuisine flambant neuve et toute équipée, deux chambres, l’une avec deux lits simples et une salle de bain, et l’autre avec un lit double et sa salle de bain également. Literie agréable, salle de bain propre et fonctionnelle, des rangements pour les douze mille t-shirts, la clim dans chaque pièce, un étendoir pour faire sécher tes maillots, bref 20/20 je recommande totalement à un ami.
Les bungalows sont répartis sur tout l’espace du camping mais suffisamment à l’écart des lieux de danse pour que l’on entende les oiseaux et pas le reggaeton. Tu pourras donc très bien dormir la nuit, si tu en as envie.
Je te raconterai en détail dans un prochain article toutes les activités qui s’offrent à toi en journée, mais je peux dès à présent te dire ceci : le camping donne directement sur la plage. LA PLAGE. Une plage juste pour nous, qui s’étend à perte de vue. Au loin, on voit les montagnes. Et à l’horizon, le bleu de la mer et celui du ciel. Tu te vois déjà faire l’étoile de mer sur le sable pendant des heures... Et tu as bien raison. Et si on ne te trouve pas sur la plage ou à barboter dans la mer, tu seras sans doute en train de suivre l’un des nombreux cours qui te seront proposés, de danser au bord de la piscine ou bien de profiter de l’espace balnéo, à moins que tu ne sois en train de manger une crêpe dans le vaste espace de restauration face à la scène. Cette scène, je t’en parlerai dans un autre article...
D’ici là, j’espère que tu auras pris tes billets d’avion et trouvé tes colocs de bungalow. J’ai hâte de passer ces vacances avec toi !
Besos besos,
Constance Jaffrennou
En mai 2022, je me trouvais donc à l’aéroport d’Orly, ma valise grande ouverte dans le Terminal 3 parce que personne ne m’avait dit qu’il était inutile de prendre douze mille t-shirts, douze mille pulls pour aller avec les douze mille t-shirts et les fameux crayons de couleurs, et que j’avais donc largement dépassé les 23kg de bagage réglementaires. Heureusement, toi tu es prévenu. Ne fais pas ça. Sauf si comme moi tu as la chance d’avoir des amies pour prendre une partie de tes affaires dans leur valise et de tomber sur un agent de sécurité très compréhensif et peu regardant.
Une fois cet épisode passé, il n’était absolument pas question de rester sagement assises à attendre l’heure du départ. Oh non. Un challenge avait été lancé par Salsabor à tous les participants du SBL : le merengue challenge. Cela supposait de nous filmer en train d’embarquer dans l’avion en dansant le merengue sur le morceau « Traigo Fuego ». Et il fallait évidemment avoir la meilleure mise en scène possible. Nous avions un avantage exceptionnel avec ce groupe du vol de mercredi matin : nous avions Montse avec nous. L’intro était toute trouvée : « Est-ce que tout le monde a badgé ? ». Le résultat était magnifique. Notre vidéo était drôle et festive et joyeuse. Mais je dois reconnaître qu’un groupe a fait mieux. Mille fois mieux. La veille, ils avaient dansé le merengue DANS l’avion. En plein vol. Dans les airs. Le SBL avait clairement commencé.
Je ne sais pas quel sera le nouveau défi à relever cette année mais je fais confiance à la team Salsabor pour nous concocter quelque chose de fou. Et j’ai hâte de voir tes exploits en vidéo !
Lorsque nous sommes arrivés à Bastia, un bus nous attendait pour faire la navette jusqu’au camping à Ghisonaccia. Est-ce que nous avons fait une rueda devant l’aéroport en attendant le départ du bus ? Oui absolument. Et est-ce que nous avons ensuite dansé la salsa à l’intérieur du bus tandis que the one and only Philippe Gomis faisait retentir sa playlist sur une enceinte à plein volume ? Evidemment.
Notre excitation montait à mesure que les paysages corses se succédaient par la fenêtre. Il faisait beau, l’ambiance était légère et nous ne pouvions nous empêcher de sourire d’être là, ensemble, aux portes de cette semaine qui commençait sur les chapeaux de roues.
En arrivant au camping Arinella Bianca, nous avons été accueillis par un verre du divin planteur de José. Une arrivée en douceur sur les lieux de nos vacances où la musique résonnait déjà partout. Une bonne partie de l’équipe d’enseignants et de forpro nous attendait pour nous donner les précieux sésames du SBL : les bracelets colorés qui allaient orner nos poignets de jour comme de nuit et nous permettre d’accéder à tous les espaces du camping. Toi aussi cette année tu bronzeras avec ta collec’ de bracelets. Ça fait partie du rite de passage.
Une fois les bracelets en place, el señor Galvani check la liste des inscrits, nous donne les clefs et le numéro de nos bungalows, un plan et une petite blague au passage et hop, le moment est venu de découvrir vraiment à quoi ressemble les lieux.
Mais avant de mettre ma casquette de guide touristique et de te faire une petite visite virtuelle, laisse-moi revenir une seconde sur cette histoire de plan. Oui, il y a une petite vibe épreuve d’orientation de Koh-Lanta dans le fait d’avoir un plan papier avec la localisation de chaque bungalow et chaque espace commun du camping. Et on rigole on rigole mais ce plan nous a été bien utile en arrivant. Imagine un peu : plus d’une centaine de bungalows quasi identiques cachés parmi les arbres comme des oeufs de pâques XXL. Trouver le sien du premier coup sans plan dans un endroit aussi vaste relève du miracle. Nous n’avons heureusement pas eu besoin de boussole ni de compas (et de toutes façons je n’avais plus de place dans ma valise pour prendre mon kit d’exploratrice).
Si tu n’as pas encore été faire un tour le site du SBL ou celui du camping, laisse-moi dès à présent te rassurer : les bungalows sont top. Genre, vraiment. Et je ne dis pas ça parce que j’étais sous le charme inconditionnel de ces vacances. Il y a des choses avec lesquelles je suis très sérieuse et la véracité de la description du SBL en fait partie.
L’année dernière, j’étais dans un bungalow de quatre et voici comme il se présentait : une large terrasse avec une grande table pour déjeuner dehors et des chaises longues pour glandouiller (autant te dire que je n’ai pas utilisé ces chaises longues), de grandes baies vitrées pour faire entrer la lumière, une pièce à vivre composée d’un salon petit mais confortable ouvert sur une cuisine flambant neuve et toute équipée, deux chambres, l’une avec deux lits simples et une salle de bain, et l’autre avec un lit double et sa salle de bain également. Literie agréable, salle de bain propre et fonctionnelle, des rangements pour les douze mille t-shirts, la clim dans chaque pièce, un étendoir pour faire sécher tes maillots, bref 20/20 je recommande totalement à un ami.
Les bungalows sont répartis sur tout l’espace du camping mais suffisamment à l’écart des lieux de danse pour que l’on entende les oiseaux et pas le reggaeton. Tu pourras donc très bien dormir la nuit, si tu en as envie.
Je te raconterai en détail dans un prochain article toutes les activités qui s’offrent à toi en journée, mais je peux dès à présent te dire ceci : le camping donne directement sur la plage. LA PLAGE. Une plage juste pour nous, qui s’étend à perte de vue. Au loin, on voit les montagnes. Et à l’horizon, le bleu de la mer et celui du ciel. Tu te vois déjà faire l’étoile de mer sur le sable pendant des heures... Et tu as bien raison. Et si on ne te trouve pas sur la plage ou à barboter dans la mer, tu seras sans doute en train de suivre l’un des nombreux cours qui te seront proposés, de danser au bord de la piscine ou bien de profiter de l’espace balnéo, à moins que tu ne sois en train de manger une crêpe dans le vaste espace de restauration face à la scène. Cette scène, je t’en parlerai dans un autre article...
D’ici là, j’espère que tu auras pris tes billets d’avion et trouvé tes colocs de bungalow. J’ai hâte de passer ces vacances avec toi !
Besos besos,
Constance Jaffrennou